« A peine j’ouvre les yeux », chante Farah. Et il est vrai qu’elle les ouvre sur un monde qui s’offre enfin. Elle vient d’obtenir son bac (mention TB). Quant aux paroles de la chanson, elles égrènent les misères qui agressent le peuple tunisien dès son réveil, la misère, le quotidien étouffant, la police secrète....
Premier long métrage de la réalisatrice Leyla Bouzid : C’est l’été 2010 à Tunis, il y a urgence à vivre sous un soleil qui fait mûrir à toute vitesse fruits et ados. Emportée par un (...)