"ça bouge"
Publié le : mardi 3 mars 2009
Des gags pour "déconstiper" les cinéphiles.

Suite de petites histoires caustiques qui poussent les cinéphiles dans l’hilarité, "ça bouge" est à l’image de son casting. tout simplement décapant. Le top des comédiens burkinabè s’y donnent rendez-vous sous la houlette de idrissa Junior Ouédraogo, le bien-nommé ?





Un époux qui fait des avan­ces à la bonne, une femme qui cocu­fie son époux, un époux jaloux mais infi­dè­les, des fous qui se pren­nent à rêver de mieux-être ou tout sim­ple­ment un bra­quage qui fini dans une deban­dade. Voilà un aperçu des 27 his­toi­res de 3mns qui cons­ti­tuent la trame du tele­film "ça bouge", en com­pé­ti­tion offi­cielle dans la caté­go­rie sitcom/série.

Selon le réa­li­sa­teur Idrissa Junior Ouédraogo, sa pro­duc­tion a "d"abord pour but de décom­pres­ser dans une société qui va très vite. Le stress occi­den­tal des­cend de plus en plus sur l’Afrique et il nous faut trou­ver des pal­lia­tifs pour faire face à la pres­sion".

Avec près du 1/4 des his­toi­res consa­crées à des ques­tions qui ont trait à la folie, on serait tenté de croire que la réa­li­sa­tion s’est prise de folie. Une inquié­tude que tem­père Idrissa junior "au début, il s’agis­sait d’une série de gags consa­crée aux fous. C’est par la suite que nous avons décidé d’y asso­cier d’autres his­toi­res. D’ou l’abon­dance de gags qui abor­dent des his­toi­res de fous".

Avec les dif­fi­cultés inhé­ren­tes à l’orga­ni­sa­tion et qui com­men­çaient à exas­pé­rer cer­tains invi­tés, "ça bouge" apporte une dose d’humour qui à coûp sûr "décons­ti­pera" les ciné­phi­les.

Souleymane S. Mao

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